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La quête de l’épave de la Cordelière reprend !

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DRASSM

Depuis le 3 juin, les investigations archéologiques pour retrouver l’épave de la Marie-Cordelière, vaisseau amiral de la duchesse Anne de Bretagne ont repris. Pendant 3 semaines, le DRASSM arpentera les côtes au large de Brest à la recherche du navire sombré en 1512.

À partir du 3 juin, le DRASSM, en partenariat avec la Région Bretagne, reprend, pour 3 semaines, ses investigations archéologiques au large de Brest avec toujours l’espoir de retrouver les épaves de la Marie-Cordelière, vaisseau amiral de la duchesse Anne de Bretagne, et du Regent, navire d’Henri VIII d’Angleterre, coulés bord à bord lors d’un combat épique, le 10 août 1512 entre le Goulet de Brest et la pointe Saint-Mathieu.

Cette nouvelle campagne de recherche aura lieu du 3 au 14 juin puis du 24 au 28 juin. Des plongées ponctuelles robotisées et/ou humaines autour des anomalies les plus significatives sont envisagées, de même qu’une expertise approfondie. Les vestiges de Sud Minou 1 (navire marchand du 16e siècle), repérés l’été dernier, seront prélevés et dégagés. La découverte de nouveaux indices permettrait d’enrichir les connaissances d’une page d’histoire mythique de la Bretagne.

Un peu d’histoire

Construit en 1498 sur ordre de la duchesse Anne de Bretagne, la Marie Cordelière était à l’époque l’un des navires de guerre les plus puissants de la flotte bretonne.
Le 10 août 1512, au terme d’un combat épique contre les forces anglaises, entre le goulet de Brest et la pointe Saint-Mathieu, le bateau fait naufrage en même temps que le Regent, fleuron de l’armada britannique avec lequel il combattait bord-à-bord. Depuis, plus aucune trace des vaisseaux engloutis depuis plus de 500 ans… 

Conférence internationale de l’UNESCO sur le patrimoine subaquatique à Brest du 17 au 19 juin

Riche d’un patrimoine subaquatique conservé à travers les océans, la mer est souvent considérée comme « le plus grand musée du monde ». Toutefois, ces trésors engloutis demeurent fragiles, victimes de pillages et de destructions quotidiennes.

La France, qui préside depuis 2017 la Conférence des États Parties à la Convention UNESCO de 2001 sur la protection du patrimoine culturel subaquatique, organise à Brest, une conférence internationale. Son objectif est de sensibiliser les États membres de l’UNESCO, de susciter de nouvelles ratifications et de valoriser l’expertise Française dans ce domaine.

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